Pour la chercheuse, spécialisée en physique nucléaire, la France risque de payer longtemps l’arrêt du projet Astrid.
L’objectif est de construire d’ici à 2030 un petit prototype de 300 MW, à l’architecture simplifiée. De nombreux pays travaillent sur le sujet. En Russie, une installation flottante vient même d’entrer en service.